François Hollande ne l’a peut-être pas encore compris, mais il joue en ce moment la fin de son mandat (ne parlons même plus de candidature à l’élection présidentielle de 2017). L’attentat commis par deux individus se revendiquant de Daesh dans une église près de Rouen est la rupture de digue que tout le monde pouvait craindre après l’attentat de Nice. Hier, des enfants fassent partie du nombre des victimes. Ce symbole est une tâche de sang sur le drapeau français. Aujourd’hui, la barbarie terroriste s’est manifestée lors d’une messe. C’est la seconde ligne qu’il ne fallait pas franchir.
Si l’un des deux assaillants était fiché S (et de plus selon FranceTVinfo avait été placé sous bracelet électronique depuis mars 2016), il est évident que se pose le problème du maintien en liberté de ces type d’individus dans un pays désormais atteint de manière répétitive sur son sol.
La population française a manifesté jusqu’à présent une grande patience mais elle ne comprendra pas ad vitam aeternam le laxisme du pouvoir politique sur des mesures élémentaires :
- Fermeture de toutes les mosquées qui diffusent un discours extrémiste contre la France.
- Expulsion des imams étrangers auteurs de tels discours.
- Interdiction des organisations islamistes qui prônent des discours antirépublicains, d’obédience salafiste ou liées aux Frères Musulmans.
- Rupture des liens entretenus par la France avec des pays liés au financement du radicalisme islamique.
L’absence de mesures logiques et élémentaires à la suite de cette répétition d’attentats, signifie purement et simplement que l’actuel gouvernement de la République française se montre incapable d’assumer ses responsabilités devant le peuple français. Il n’est pas interdit e penser que les polémiques stériles qui occupent les médias depuis l’attentat de Nice ne serviront pas longtemps d’écran de fumée.
Ce 26 juillet 2016, il est vital pour nous tous que la comédie humaine qui domine le microsome parisien depuis de nombreuses années cesse enfin. L’absence de courage politique précipite le peuple français dans ses derniers retranchements. Le chiffon noir agité périodiquement sur les réactions violentes de l’ultra-droite ne masquera pas longtemps la réalité ambiante. En Corse, sept prédicateurs salafistes ont dû quitter le pays précipitamment l’île sans que les pouvoirs publics ne soient à l’origine de cette mesure. Sur le continent, le pays fera bloc comme le souhaite le Premier Ministre à la seule condition que son gouvernement prenne les mesures élémentaires qui s’imposent. Si ce n’est pas le cas, le mot de la fin reviendra à l’électeur.
Si l’un des deux assaillants était fiché S (et de plus selon FranceTVinfo avait été placé sous bracelet électronique depuis mars 2016), il est évident que se pose le problème du maintien en liberté de ces type d’individus dans un pays désormais atteint de manière répétitive sur son sol.
La population française a manifesté jusqu’à présent une grande patience mais elle ne comprendra pas ad vitam aeternam le laxisme du pouvoir politique sur des mesures élémentaires :
- Fermeture de toutes les mosquées qui diffusent un discours extrémiste contre la France.
- Expulsion des imams étrangers auteurs de tels discours.
- Interdiction des organisations islamistes qui prônent des discours antirépublicains, d’obédience salafiste ou liées aux Frères Musulmans.
- Rupture des liens entretenus par la France avec des pays liés au financement du radicalisme islamique.
L’absence de mesures logiques et élémentaires à la suite de cette répétition d’attentats, signifie purement et simplement que l’actuel gouvernement de la République française se montre incapable d’assumer ses responsabilités devant le peuple français. Il n’est pas interdit e penser que les polémiques stériles qui occupent les médias depuis l’attentat de Nice ne serviront pas longtemps d’écran de fumée.
Ce 26 juillet 2016, il est vital pour nous tous que la comédie humaine qui domine le microsome parisien depuis de nombreuses années cesse enfin. L’absence de courage politique précipite le peuple français dans ses derniers retranchements. Le chiffon noir agité périodiquement sur les réactions violentes de l’ultra-droite ne masquera pas longtemps la réalité ambiante. En Corse, sept prédicateurs salafistes ont dû quitter le pays précipitamment l’île sans que les pouvoirs publics ne soient à l’origine de cette mesure. Sur le continent, le pays fera bloc comme le souhaite le Premier Ministre à la seule condition que son gouvernement prenne les mesures élémentaires qui s’imposent. Si ce n’est pas le cas, le mot de la fin reviendra à l’électeur.