Dossier : Socfin et Bolloré, cibles symboliques pour les opposants à l’huile de palme
« Dur en affaires, pas tendre avec les forêts » pouvait-on lire sur la banderole déployée par Greenpeace devant le siège du groupe Bolloré le 25 février dernier. L’objet de l’opération : alerter sur la déforestation liée à l’expansion des plantations d’huile de palme en Afrique et sur ses conséquences environnementales et sociales.
Portée par une forte demande mondiale, la production d’huile de palme fait en effet l’objet d’investissements massifs. Et l’encadrement de cette exploitation étant aujourd’hui devenu, sous la pression des populations et des ONG, relativement contraignant en Asie, les investisseurs se tournent de plus en plus vers l’Afrique. Parmi eux, l’un des plus importants est la Société financière des caoutchoucs (Socfin), holding luxembourgeois peu connu du grand public mais dont l’un des actionnaires principaux, à hauteur de 38,7%, n’est autre que Bolloré. Le groupe cultivait près de 110.000 hectares en 2014, soit près de 25% de plus qu’en 2011. Une expansion soutenue qui se fait au prix de nombreuses tensions entre le producteur et les communautés locales.
Dossier à télécharger ici : Dossier huile de palme 2016
Portée par une forte demande mondiale, la production d’huile de palme fait en effet l’objet d’investissements massifs. Et l’encadrement de cette exploitation étant aujourd’hui devenu, sous la pression des populations et des ONG, relativement contraignant en Asie, les investisseurs se tournent de plus en plus vers l’Afrique. Parmi eux, l’un des plus importants est la Société financière des caoutchoucs (Socfin), holding luxembourgeois peu connu du grand public mais dont l’un des actionnaires principaux, à hauteur de 38,7%, n’est autre que Bolloré. Le groupe cultivait près de 110.000 hectares en 2014, soit près de 25% de plus qu’en 2011. Une expansion soutenue qui se fait au prix de nombreuses tensions entre le producteur et les communautés locales.
Dossier à télécharger ici : Dossier huile de palme 2016