Selon le journal suisse en ligne Les observateurs, c’est bien Daesh qui serait à l’origine des attaques menées contre des femmes dans plusieurs villes d’Europe. La police allemande aurait décrypté les messages lancés en plusieurs langues sur les réseaux sociaux par le groupe terroriste. Les médias allemands commencent à sortir du mutisme politiquement correct qu’ils avaient observé aux lendemains des évènements de Cologne. Cette forme d’agression est d’autant plus facile à reproduire qu’elle n’est pas qualifiée d’acte terroriste à proprement dit et était pour l’instant niée ou cachée par les gouvernements qui en avaient fait le constat. Le premier pays à incriminer sur ce dossier est la Grande Bretagne qui a tout fait pour étouffer cette pratique dégradante et criminelle de certains membres de la communauté étrangère issue des pays arabes ou d’Afghanistan. L’omerta des autorités allemandes et de certains pays du Nord de l’Europe tels que la Suède ne résiste plus à l’évidence. Comme le rappelait le ministre allemand de l'Intérieur, Thomas de Maizière : «C'est une nouvelle dimension du crime Il est clair que tout ce qui a été prédestiné et organisé. »
En recul en Irak et en Syrie, incapable de déclencher une lutte armée sur le sol européen pour des raisons évidentes d’impossibilité de soutien logistique (une guerre exige beaucoup de moyens, notamment en approvisionnement en armes et en munitions), les terroristes de Daesh en sont réduits à des actions de provocation spectaculaires mais qui ne reflètent en rien le niveau du rapport de force. Il est facile d’inciter des foules anonymes à se défouler sur des femmes sans défense, il est beaucoup plus difficile de tenir militairement une parcelle de territoire français aussi réduite soit-elle. Il est regrettable que les médias français soient si peu professionnels pour aborder ce type de problématique.
En recul en Irak et en Syrie, incapable de déclencher une lutte armée sur le sol européen pour des raisons évidentes d’impossibilité de soutien logistique (une guerre exige beaucoup de moyens, notamment en approvisionnement en armes et en munitions), les terroristes de Daesh en sont réduits à des actions de provocation spectaculaires mais qui ne reflètent en rien le niveau du rapport de force. Il est facile d’inciter des foules anonymes à se défouler sur des femmes sans défense, il est beaucoup plus difficile de tenir militairement une parcelle de territoire français aussi réduite soit-elle. Il est regrettable que les médias français soient si peu professionnels pour aborder ce type de problématique.