Après étude des syndicats de l’Éducation Nationale rangés en six catégories (Documentation, Enseignants, Médecins Scolaires, Administratif/Intendance, Chef d’établissement et Syndicat Généralistes), il apparaît un flottement dans l’approche de la question numérique.
On constate premièrement que les deux groupes où l’on trouve le plus de syndicats sont les Syndicats Généralistes et les Médecins Scolaires. Cependant, il faut noter que la majorité des syndicats ne s’attachent pas à la question. En effet, certains ne citent même pas le numérique, d’autres en parlent mais sans prendre parti – avec des textes purement descriptifs. D’autres mentionnent qu’il peut y avoir des problèmes avec les informations personnelles des étudiants (Syndicat national des enseignements du second degré, Syndicat général de l’Éducation nationale, Indépendance et direction syndicat indépendant des personnels de l'éducation nationale, SUD-Éducation). Certains syndicats semblent satisfaits du projet avec des arguments comme « l’éducation pour tous, dans toutes les zones géographiques », ou prônant « la légèreté des cartables » ou même « la scolarité à l’hôpital ». Mais aucun de ces syndicats ne s’inquiètent vraiment de la sécurisation des données.
Les seuls syndicats qui s'opposent réellement au passage au numérique ont des arguments assez simples, comme le manque de formation des enseignants. Certains vont plus loin et expliquent que les professeurs seront alors surveillés et épiés car les parents, les élèves et les directeurs d'école pourront les contacter et les suivre à chaque instant.
Il est également intéressant de constater que les syndicats de documentation ne disent rien sur le sujet alors qu’ils sont les mieux placés pour connaître les risques liés aux NTIC.
Il est également à noter que les syndicats de médecins scolaires sont peu enclins à prendre parti sur le sujet. Pourtant l’ère du numérique les affecte tout particulièrement. En effet, ces médecins sont les mieux placés pour avoir des informations sur les professeurs autant que les étudiants. Globalement les syndicats ne sont pas formés aux problèmes que peuvent poser l’école du numérique. Les associations les plus enclins à être réceptives aux messages, sont sans doute les médecins scolaires. Les syndicats généralistes sont souvent trop gros et trop procéduriers pour pouvoir être abordés directement. Il serait probablement plus simple d’influencer des syndicats plus ciblés comme ceux des chefs d’établissement.
On constate premièrement que les deux groupes où l’on trouve le plus de syndicats sont les Syndicats Généralistes et les Médecins Scolaires. Cependant, il faut noter que la majorité des syndicats ne s’attachent pas à la question. En effet, certains ne citent même pas le numérique, d’autres en parlent mais sans prendre parti – avec des textes purement descriptifs. D’autres mentionnent qu’il peut y avoir des problèmes avec les informations personnelles des étudiants (Syndicat national des enseignements du second degré, Syndicat général de l’Éducation nationale, Indépendance et direction syndicat indépendant des personnels de l'éducation nationale, SUD-Éducation). Certains syndicats semblent satisfaits du projet avec des arguments comme « l’éducation pour tous, dans toutes les zones géographiques », ou prônant « la légèreté des cartables » ou même « la scolarité à l’hôpital ». Mais aucun de ces syndicats ne s’inquiètent vraiment de la sécurisation des données.
Les seuls syndicats qui s'opposent réellement au passage au numérique ont des arguments assez simples, comme le manque de formation des enseignants. Certains vont plus loin et expliquent que les professeurs seront alors surveillés et épiés car les parents, les élèves et les directeurs d'école pourront les contacter et les suivre à chaque instant.
Il est également intéressant de constater que les syndicats de documentation ne disent rien sur le sujet alors qu’ils sont les mieux placés pour connaître les risques liés aux NTIC.
Il est également à noter que les syndicats de médecins scolaires sont peu enclins à prendre parti sur le sujet. Pourtant l’ère du numérique les affecte tout particulièrement. En effet, ces médecins sont les mieux placés pour avoir des informations sur les professeurs autant que les étudiants. Globalement les syndicats ne sont pas formés aux problèmes que peuvent poser l’école du numérique. Les associations les plus enclins à être réceptives aux messages, sont sans doute les médecins scolaires. Les syndicats généralistes sont souvent trop gros et trop procéduriers pour pouvoir être abordés directement. Il serait probablement plus simple d’influencer des syndicats plus ciblés comme ceux des chefs d’établissement.