Le groupe marocain Aksal a mis en commun ses ressources et son expertise avec ceux du groupe saoudien Al Jedaie Group afin de réaliser un Mall qui est un grand centre commercial copié sur le modèle de ceux qui existent aux Etats-Unis. Ce projet sans précédent en Afrique du Nord a été baptisé Morocco Mall.
En l’espace d’une année d’existence, Morocco Mall, a accueilli quelque 15 millions de visiteurs attirés par les marques internationales les plus prestigieuses (Dior, Gucci, Ferragamo, Ralph Lauren, GAP, Zara, etc.). L’équipe en charge de Morocco Mall a démarré en trombe, avec une soirée d’ouverture animée par Jennifer Lopez et une campagne médiatique intense destinée à promouvoir l’image du centre dont l’architecture rappelle le célèbre Titanic. Le Mall a commencé à attirer à la fois des clients qui viennent faire leurs emplettes et de simples visiteurs qui prenaient goût à un mode de shopping nouveau et révolutionnaire au Maroc.
Pourtant, quelques semaines après son ouverture, le Morocco Mall a commencé de nouveau à faire la Une des journaux. Mais cette fois-ci ce n’était pas en tant que nouveauté dans le pays. Le sujet qui dominait dans les journaux locaux et les médias électroniques portait désormais sur les rumeurs persistantes disant que le Mall était hanté et que les fantômes y passaient leurs soirées. Certains médias sont allés jusqu’à rapporter les témoignages de clients qui auraient entendu des voix étranges comme venant de l’au-delà. Les agents de sécurité affectés sur place et d’autres clients attardés parlaient de « bruits suspects ».
Le management du Mall a mis du temps pour répondre à ces rumeurs, n’ayant ni confirmé ni démenti les allégations rapportées de toutes parts. Entre-temps, les commérages sur les visiteurs nocturnes et sur les rituels qui auraient été employés par la direction du Mall pour conjurer le sort et délivrer les lieux de leurs mauvais génies, se poursuivaient bon train.
Finalement, devant le harcèlement et les questionnements devenus insupportables des clients et des médias, y compris les internautes, le Mall a fini par réagir. Il a ainsi publié des communiqués de presse dans les principaux médias, démentant catégoriquement ces rumeurs. Un commentaire sarcastique posté sur la page Facebook officielle du Mall a pris le parti du centre commercial, affirmant que les fameuses “Galeries Lafayette parisiennes aussi sont hantées par de vieilles peaux liftés qui font du shopping, en plein jour même”.
La question qui se posait alors est de savoir si c’était réellement une rumeur ou s’agissait-il d’une opération orchestrée pour attirer davantage de clients. Le débat a enflé même jusqu’à se transformer en une guerre médiatique entre centres commerciaux.
En l’espace d’une année d’existence, Morocco Mall, a accueilli quelque 15 millions de visiteurs attirés par les marques internationales les plus prestigieuses (Dior, Gucci, Ferragamo, Ralph Lauren, GAP, Zara, etc.). L’équipe en charge de Morocco Mall a démarré en trombe, avec une soirée d’ouverture animée par Jennifer Lopez et une campagne médiatique intense destinée à promouvoir l’image du centre dont l’architecture rappelle le célèbre Titanic. Le Mall a commencé à attirer à la fois des clients qui viennent faire leurs emplettes et de simples visiteurs qui prenaient goût à un mode de shopping nouveau et révolutionnaire au Maroc.
Pourtant, quelques semaines après son ouverture, le Morocco Mall a commencé de nouveau à faire la Une des journaux. Mais cette fois-ci ce n’était pas en tant que nouveauté dans le pays. Le sujet qui dominait dans les journaux locaux et les médias électroniques portait désormais sur les rumeurs persistantes disant que le Mall était hanté et que les fantômes y passaient leurs soirées. Certains médias sont allés jusqu’à rapporter les témoignages de clients qui auraient entendu des voix étranges comme venant de l’au-delà. Les agents de sécurité affectés sur place et d’autres clients attardés parlaient de « bruits suspects ».
Le management du Mall a mis du temps pour répondre à ces rumeurs, n’ayant ni confirmé ni démenti les allégations rapportées de toutes parts. Entre-temps, les commérages sur les visiteurs nocturnes et sur les rituels qui auraient été employés par la direction du Mall pour conjurer le sort et délivrer les lieux de leurs mauvais génies, se poursuivaient bon train.
Finalement, devant le harcèlement et les questionnements devenus insupportables des clients et des médias, y compris les internautes, le Mall a fini par réagir. Il a ainsi publié des communiqués de presse dans les principaux médias, démentant catégoriquement ces rumeurs. Un commentaire sarcastique posté sur la page Facebook officielle du Mall a pris le parti du centre commercial, affirmant que les fameuses “Galeries Lafayette parisiennes aussi sont hantées par de vieilles peaux liftés qui font du shopping, en plein jour même”.
La question qui se posait alors est de savoir si c’était réellement une rumeur ou s’agissait-il d’une opération orchestrée pour attirer davantage de clients. Le débat a enflé même jusqu’à se transformer en une guerre médiatique entre centres commerciaux.