Au milieu des années quatre-vingt-dix se déroulait une véritable guerre de l’information entre Shell et Greenpeace concernant le sabordage de la plateforme pétrolière Brent Spar dans la mer du nord. Guerre de rapports scientifiques, abordage de la plateforme par les activistes diffusé mondialement, appel au boycott, utilisation de l’affect sur la population,… L’ONG jouait le rôle du faible, presque de victime face au géant pétrolier, auprès de la population mondiale pour détruire son image.
Après avoir fortement nui à l’entreprise pétrolière qui a dû faire marche arrière et renoncer au sabordage, Greenpeace s’était finalement excusée juste avant la diffusion d’un rapport attestant la bonne foi de Shell dans l’affaire à la suite d’une contre enquête menée par le bureau Veritas. En effet, la plateforme avait été vidée et ne représentait plus de danger pour l’environnement.
Presque vingt ans plus tard et après une marée noire de BP non suivie par l’ONG (BP, l’un des donateurs de Greenpeace… ?), les activistes repartent en guerre contre Shell sur les forages en arctique en juillet dernier.Greenpeace communique plus rapidement sur les problèmes que rencontre Shell au début du projet et ternit l’image du géant pétrolier sur des sujets non fondés. Alors que Shell prend ses précautions en reportant le début des forages à cause de l’endommagement du dôme de confinement qui limiterait l’impact du forage en cas de fuite sur l’environnement, l’ONG retourne la situation, diffuse l’information auprès du grand public ainsi que des entretiens de garde-côtes américains doutant de la sûreté du projet pour l’environnement afin d’entretenir l’image négative de pollueur des mers.
Greenpeace, en court-circuitant la communication de Shell, fait passer cette dernière pour une entreprise irresponsable alors même que l’entreprise avait déjà stoppé le projet dans un souci de sûreté environnementale. Affaire à suivre donc, les forages devant en effet reprendre en 2013.
Après avoir fortement nui à l’entreprise pétrolière qui a dû faire marche arrière et renoncer au sabordage, Greenpeace s’était finalement excusée juste avant la diffusion d’un rapport attestant la bonne foi de Shell dans l’affaire à la suite d’une contre enquête menée par le bureau Veritas. En effet, la plateforme avait été vidée et ne représentait plus de danger pour l’environnement.
Presque vingt ans plus tard et après une marée noire de BP non suivie par l’ONG (BP, l’un des donateurs de Greenpeace… ?), les activistes repartent en guerre contre Shell sur les forages en arctique en juillet dernier.Greenpeace communique plus rapidement sur les problèmes que rencontre Shell au début du projet et ternit l’image du géant pétrolier sur des sujets non fondés. Alors que Shell prend ses précautions en reportant le début des forages à cause de l’endommagement du dôme de confinement qui limiterait l’impact du forage en cas de fuite sur l’environnement, l’ONG retourne la situation, diffuse l’information auprès du grand public ainsi que des entretiens de garde-côtes américains doutant de la sûreté du projet pour l’environnement afin d’entretenir l’image négative de pollueur des mers.
Greenpeace, en court-circuitant la communication de Shell, fait passer cette dernière pour une entreprise irresponsable alors même que l’entreprise avait déjà stoppé le projet dans un souci de sûreté environnementale. Affaire à suivre donc, les forages devant en effet reprendre en 2013.