Après Greenpeace, une association écologiste dénommée Frontline Action Group a franchi la ligne rouge en passant dans l’illégalité pour déstabiliser une firme multinationale. Le 7 janvier 2013, le quotidien Le Figaro rapportait la manière dont cette ONG a utilisé l'en-tête d'une grande banque (ANZ) afin de propager de fausses informations et faire plonger la valeur d'un groupe minier Whitehaven Coal, dont elle juge les activités trop polluantes. Cette action illégale a fait chuter le cours de l’action de près de 10 %. Il a fallu stopper la cotation et une enquête pour rétablir la vérité à savoir que le communiqué émis par la quatrième banque australienne était un faux. Les écologistes australiens n’avaient pas hésité à évoquer « les risques liés à la réputation et des analyses sur la rentabilité de cette mine, dans le climat actuel de haute volatilité sur le marché du charbon à l'exportation » pour expliquer le pseudo gel de facilités de financement s’élevant à un milliard d'euros pour la mine de Maules Creek. Cette mine est considérée comme un investissement stratégique pour le groupe Whitehaven Coal.
Comme Greenpeace, les activistes de Frontline Action Group revendiquent la légitimité de leur action en prétextant qu’elle ne peut être que bénéfique dans la mesure où ils estiment que cette mine nuira à l'environnement. Ce type d’auto proclamation du droit de passer outre au respect de la loi ne peut que nuire à l’image des ONG en général qui plaident systématiquement pour le respect des droits de l’homme et de l’exercice de la démocratie. Il serait intéressant de connaître l’avis des États qui ont décidé de constituer un consortium international le 1er Juillet 2011 à Vilnius pour apporter un soutien financier aux défenseurs des droits humains menacés dans le monde entier. Treize gouvernements, dont l'Australie, le Bénin, le Canada, le Chili, la République tchèque, le Danemark, la Lituanie, les Pays-Bas, la Norvège, la Pologne, la Suède, le Royaume-Uni et les États-Unis, ont promis de soutenir ce Fonds d'aide aux ONG.
Comme Greenpeace, les activistes de Frontline Action Group revendiquent la légitimité de leur action en prétextant qu’elle ne peut être que bénéfique dans la mesure où ils estiment que cette mine nuira à l'environnement. Ce type d’auto proclamation du droit de passer outre au respect de la loi ne peut que nuire à l’image des ONG en général qui plaident systématiquement pour le respect des droits de l’homme et de l’exercice de la démocratie. Il serait intéressant de connaître l’avis des États qui ont décidé de constituer un consortium international le 1er Juillet 2011 à Vilnius pour apporter un soutien financier aux défenseurs des droits humains menacés dans le monde entier. Treize gouvernements, dont l'Australie, le Bénin, le Canada, le Chili, la République tchèque, le Danemark, la Lituanie, les Pays-Bas, la Norvège, la Pologne, la Suède, le Royaume-Uni et les États-Unis, ont promis de soutenir ce Fonds d'aide aux ONG.