La localisation de l’activité industrielle en France est un enjeu majeur pour le développement de notre pays. L’entreprise GECI met tout en œuvre pour ancrer son activité sur le territoire national. C’est le but qu'elle poursuit en région Lorraine dans le domaine de l’avionique où elle compte faire fabriquer un avion robuste et facile d’entretien, le Skylander SK-105, un nouveau bi turbopropulseur capable de transporter 19 passagers ou 2,7 tonnes de fret et d’opérer dans des environnements extrêmes, sur des pistes courtes et sommaires destiné notamment aux pays émergents.
L’estimation minimale du marché pour ce type d’appareil est estimée à plusieurs centaines d’exemplaires dans les années à venir. La volonté de faire aboutir le projet Skylander dépend aujourd’hui d’une décision du Fond Stratégique d’Investissement qui doit débloquer les aides pour permettre le début de la fabrication des premiers appareils. Cette décision s’inscrit dans l’application d’un protocole cadre passé entre la Région Lorraine, l’État, et des investisseurs privés pour financer le programme. Cette décision est autant politique qu’économique. Elle s’inscrit dans la perspective d’un processus de reconquête industrielle par l’innovation dont vous soulignez le rôle déterminant pour garantir l’emploi, lutter contre le chômage et contribuer à combler progressivement le déficit de notre commerce extérieur.
Les auditeurs du FSI ont validé la qualité technique et le bien fondé industriel du projet bien que ce fonds de soutien étatique se soit retiré du projet sous des prétextes qui soulèvent un certain nombre d’interrogations, notamment de savoir in fine pour qui roule le FSI.
Lundi 16 avril, le Président du Conseil régional de Lorraine Jean Pierre Masseret a pris une décision forte et courageuse en appelant l’ensemble des candidats politiques à la Présidentielle 2012 à soutenir le projet industriel Skylander développé par la PME GECI dirigée par Serge Bitboul. La sauvegarde de l’ancrage de GECI en région Lorraine est un cas exemplaire du lien qui doit unir le politique et l’entreprise dans un but commun : sauvegarder les initiatives industrielles qui ne se délocalisent pas ou qui ne passent pas aux mains d’un capital étranger. Le projet Skylander est aussi le pari d’ancrer dans une région qui a été durablement affectée par la disparition de ses principales activités (mines, sidérurgie). Le Skylander participe à cette volonté de redémarrage de l’activité économique sur un territoire qui cherche à trouver d’autres pistes de développement et à renouer avec la dynamique de son passé industriel.
L’estimation minimale du marché pour ce type d’appareil est estimée à plusieurs centaines d’exemplaires dans les années à venir. La volonté de faire aboutir le projet Skylander dépend aujourd’hui d’une décision du Fond Stratégique d’Investissement qui doit débloquer les aides pour permettre le début de la fabrication des premiers appareils. Cette décision s’inscrit dans l’application d’un protocole cadre passé entre la Région Lorraine, l’État, et des investisseurs privés pour financer le programme. Cette décision est autant politique qu’économique. Elle s’inscrit dans la perspective d’un processus de reconquête industrielle par l’innovation dont vous soulignez le rôle déterminant pour garantir l’emploi, lutter contre le chômage et contribuer à combler progressivement le déficit de notre commerce extérieur.
Les auditeurs du FSI ont validé la qualité technique et le bien fondé industriel du projet bien que ce fonds de soutien étatique se soit retiré du projet sous des prétextes qui soulèvent un certain nombre d’interrogations, notamment de savoir in fine pour qui roule le FSI.
Lundi 16 avril, le Président du Conseil régional de Lorraine Jean Pierre Masseret a pris une décision forte et courageuse en appelant l’ensemble des candidats politiques à la Présidentielle 2012 à soutenir le projet industriel Skylander développé par la PME GECI dirigée par Serge Bitboul. La sauvegarde de l’ancrage de GECI en région Lorraine est un cas exemplaire du lien qui doit unir le politique et l’entreprise dans un but commun : sauvegarder les initiatives industrielles qui ne se délocalisent pas ou qui ne passent pas aux mains d’un capital étranger. Le projet Skylander est aussi le pari d’ancrer dans une région qui a été durablement affectée par la disparition de ses principales activités (mines, sidérurgie). Le Skylander participe à cette volonté de redémarrage de l’activité économique sur un territoire qui cherche à trouver d’autres pistes de développement et à renouer avec la dynamique de son passé industriel.