L’éditeur SAP est connu comme une entreprise allemande rentable et prospère. Symbole de la rigueur et de l’efficacité. Le progiciel phare R3 est utilisé par une bonne majorité de grandes entreprises afin d’optimiser leur processus de gestion et de production. Il s’agit d’un élément clé de l’entreprise. Cet outil fondamentalement complexe est géré par une pléthore d’informaticiens multi-casquette. On demande aux consultants SAP de bien connaître la comptabilité, les ressources humaines ou la logistique ainsi que la technique d’intégration car le progiciel est capable de s’adapter à l’environnement de l’entreprise. Ces ressources transverses sont rares et coûtent relativement chers.
Le progiciel SAP R3 plait aux entreprises. Nombreux étaient les grands groupes à s’y lancer. Le retour sur investissement était attendu, car le coût s’avérait exorbitant. Il s’agissait de grands projets lancés à long terme, souvent budgétés sur des volumes de plusieurs centaines de millions d’euros. Un grand nombre de consultants interviennent pour paramétrer le progiciel. Cependant, de nombreux projets tournent au cauchemar. Le coût de mise en œuvre est trop élevé.
Ces difficultés obligèrent SAP à optimiser le coût en délocalisant la main d’œuvre. Des milliers de consultants à faible coût sont nécessaires et doivent être formé. SAP commença à installer son centre de support en Inde en 2002 puis s’ensuivirent d’autres centres de développements. Ce phénomène entraina l’essor de la main d’œuvre indienne autour de progiciel SAP. D’autres partenaires de SAP s’y sont engouffrés et n’hésitent pas à investir des millions d’euros pour créer un centre de compétence en Inde.
Pourquoi, cet engouement ? La main d’œuvre indienne est moins chère et plus souple que son homologue occidental. Il s’agissait non seulement d’une histoire de coût mais aussi d’une véritable politique de management de l’entreprise. L’impact dans le pays de l’OCDE est très fort car elle entraina parfois une réorganisation profonde de l’entreprise, des pertes d’emplois, des pertes de revenus.
Les multinationales comme SAP gagnaient une marge bénéficiaire colossale due à une réduction drastique de coûts de développement. La délocalisation a créé des laisser pour compte dans les pays occidentaux. On pensait à tort que certains obstacles comme la barrière de la langue seraient un frein pour ces délocalisations. Il n’en est rien. En imitant SAP, de grosses entreprises du CAC 40 n’ont pas hésité à délocaliser leur centre de compétence en Inde.
Le progiciel SAP R3 plait aux entreprises. Nombreux étaient les grands groupes à s’y lancer. Le retour sur investissement était attendu, car le coût s’avérait exorbitant. Il s’agissait de grands projets lancés à long terme, souvent budgétés sur des volumes de plusieurs centaines de millions d’euros. Un grand nombre de consultants interviennent pour paramétrer le progiciel. Cependant, de nombreux projets tournent au cauchemar. Le coût de mise en œuvre est trop élevé.
Ces difficultés obligèrent SAP à optimiser le coût en délocalisant la main d’œuvre. Des milliers de consultants à faible coût sont nécessaires et doivent être formé. SAP commença à installer son centre de support en Inde en 2002 puis s’ensuivirent d’autres centres de développements. Ce phénomène entraina l’essor de la main d’œuvre indienne autour de progiciel SAP. D’autres partenaires de SAP s’y sont engouffrés et n’hésitent pas à investir des millions d’euros pour créer un centre de compétence en Inde.
Pourquoi, cet engouement ? La main d’œuvre indienne est moins chère et plus souple que son homologue occidental. Il s’agissait non seulement d’une histoire de coût mais aussi d’une véritable politique de management de l’entreprise. L’impact dans le pays de l’OCDE est très fort car elle entraina parfois une réorganisation profonde de l’entreprise, des pertes d’emplois, des pertes de revenus.
Les multinationales comme SAP gagnaient une marge bénéficiaire colossale due à une réduction drastique de coûts de développement. La délocalisation a créé des laisser pour compte dans les pays occidentaux. On pensait à tort que certains obstacles comme la barrière de la langue seraient un frein pour ces délocalisations. Il n’en est rien. En imitant SAP, de grosses entreprises du CAC 40 n’ont pas hésité à délocaliser leur centre de compétence en Inde.