Wikileaks contre le reste du monde pour l’avenir de la libre information

Wikileaks est vu par certains comme un outil de manipulation d’acteurs internationaux dans un intérêt bien précis, d’autres qualifient ses actes d’atteinte à la sécurité d’entreprises, de nations, d’organisations et de personnes, et puis y’en qui prennent tous ces documents  pour argent comptant, alors qu’une minorité considèrent ces document comme authentiques mais ne sont intéressants que s’ils sont interprétés et analysés dans leur contexte. L’objectif de création de Wikileaks n’est néanmoins pas l’objectif de l’article, chacun a son avis personnel de la chose.
Cependant, quel était la réaction de la plus grande entreprise au monde qui est les Etats-Unis représentant un CA de plus de 15 000 M$, et deux fois supérieur à son plus proche concurrent ?
Le très célèbre Amazon a cessé d’héberger www.wikileaks.org au motif que celui-ci subit des attaques informatiques fréquentes, Les Majors en subissent pourtant de même récemment avec les Anonymous.  Viens après, l’action de www.everydns.net qui supprime simplement le nom de domaine du site sans aucune légitimité.
Des hackers qui s’en sont pris directement à Wikileaks par des moyens illégaux à l’instar de Jester mais aussi les représentants de cette énorme entreprise notamment Hilary Clinton via des communiqués de presse. Finalement, tous étaient d’accord : Wikileaks met en danger notre structure et nos employés.
Cet acteur intercontinental ne s’est pas arrêté là, grâce à son énorme jeu de lobbying, il a influencé le premier service de paiement en ligne www.Paypal.com pour bloquer l’accès aux comptes de l’association et par conséquent aux donc récoltés, pour ensuite l’attaquer sur les transactions bancaires impliquant les mastodontes Visa et Mastercard.
Les sympathisants  de Wikileaks ont bien sur répondu, les premiers évidemment, étaient les Anonymous avec des discours très agressifs et en attaquant d’abord Paypal, en appelant à son boycott et puis demandant à tout azimut de retirer son argent de cette banque virtuelle. Les sites web respectifs de MasterCard et de Visa étaient mis en échec l’un après l’autre.
Certes, Wikileaks à commencer la guerre au nom de « la liberté d’expression et du droit au savoir » contre l’énorme Etats-Unis, ces derniers ont répliqués d’une manière assez forte mais étonnante en menaçant pour la première devant une télévision cette association.
En tout cas, cette sale guerre ne vient que de commencer avec sans doute pleins de rebondissements, de communiqués, de coups bas, d’actions et réactions de la part des uns et des autres… Le procès de Jullien Assange sera le premier peut-être le premier acte symbolique, et surement la remise au public de la clé de déchiffrement du fichier « insurance » contenant plus de 350000 documents confidentiels sera l’une des dernières cartes que jouera Wikileaks.