L’ancien CEO et créateur de la firme pommée, par le biais d’attaques à répétition à réussit a réduire considérablement l’impact du Flash, sur teinte de guerre personnelle. Tout a commencé en 1985 quand Steve Jobs, après avoir été écarté d’Apple, fonde NeXT, une entreprise informatique destinée aux travailleurs de l’industrie graphique. Mais sa pénétration du marché resta très marginale car Adobe, ne croyant pas au potentiel de NeXT, refusa de porter sa suite créative sur cette plateforme. Cette décision fronça particulièrement Steve Jobs et influa sur la suite de ses relations avec Adobe.
C’est en réintégrant Apple en 1997, que Steve Jobs reprend enfin sa position de force face à Adobe, grâce à la part importante que représentent les ventes de l’éditeur de logiciel sur Mac.
C’est là que le très controversé Flash rentre en jeu. Le Flash, ce langage d’Adobe de développement permettant un affichage dynamique et novateur de site web en pouvant y ajouter des vidéos, était à l’époque entièrement compatible sur Windows, (ndlr: l’ennemi juré d’Apple) alors que le mac ne le supportait que partiellement.
Steve Jobs souhaitait depuis le début l’optimisation du Flash pour sa plateforme car une bonne compatibilité de Flash était devenu stratégique vu qu’en 2002, plus 7 des 10 plus grands sites web américains utilisaient la technologie Flash. (Source: Media Metrix)
La vraie guerre informationnelle commence quand Apple sort l’iPod Touch et l’iPhone, de véritables petits navigateurs web. A la surprise générale, ces téléphones étaient incompatibles avec Flash, privant ainsi ces appareils des petits jeux en ligne et de nombreux sites web développés alors uniquement en Flash, tel que Youtube. Or, voulant promouvoir l’essor de sa plateforme en garnissant son marché d’applications en ligne «l’AppStore», Apple avait fournit un outil de développement d’application «Xcode» au développeurs. A ce moment là, ils permettaient aussi le développement d’applications via un éditeur basé sur le flash (Adobe Flash-to-iPhone app tool), de manière à pousser les développeurs flash a développer sur iOS.
Mais au fil du développement du marché du smartphone et de la croissance des terminaux Apple, la plupart des sites web se devait d’offrir une version alternative de leur site compatible avec les terminaux pommés. Au fils des années, le Flash n’est désormais plus incontournable, car les sites web étaient maintenant conçus en deux versions, les développeurs pour iOS développaient via Xcode et encore mieux, un nouveau standard web tout aussi complet que le Flash pointait le bout de son nez, le HTML 5.
C’est lors du lancement de l’iPad, que Steve Jobs mit de coup de grâce au Flash. En effet Steve Jobs a écrit en avril 2010 une lettre ouverte, annonçant son choix de ne pas supporter le flash sur les plateformes mobiles de sa marque, interdisant par la suite le développement d’applications via le flash (via les conditions générales de soumission d’Apps sur l’Appstore).
Ce coup de grâce mit fin progressivement à l’avantage concurrentiel que représentait le support du flash sur les tablettes et les smartphones concurrents d’Apple, entrainant progressivement la mort du format au profit du HTML 5.
C’est en réintégrant Apple en 1997, que Steve Jobs reprend enfin sa position de force face à Adobe, grâce à la part importante que représentent les ventes de l’éditeur de logiciel sur Mac.
C’est là que le très controversé Flash rentre en jeu. Le Flash, ce langage d’Adobe de développement permettant un affichage dynamique et novateur de site web en pouvant y ajouter des vidéos, était à l’époque entièrement compatible sur Windows, (ndlr: l’ennemi juré d’Apple) alors que le mac ne le supportait que partiellement.
Steve Jobs souhaitait depuis le début l’optimisation du Flash pour sa plateforme car une bonne compatibilité de Flash était devenu stratégique vu qu’en 2002, plus 7 des 10 plus grands sites web américains utilisaient la technologie Flash. (Source: Media Metrix)
La vraie guerre informationnelle commence quand Apple sort l’iPod Touch et l’iPhone, de véritables petits navigateurs web. A la surprise générale, ces téléphones étaient incompatibles avec Flash, privant ainsi ces appareils des petits jeux en ligne et de nombreux sites web développés alors uniquement en Flash, tel que Youtube. Or, voulant promouvoir l’essor de sa plateforme en garnissant son marché d’applications en ligne «l’AppStore», Apple avait fournit un outil de développement d’application «Xcode» au développeurs. A ce moment là, ils permettaient aussi le développement d’applications via un éditeur basé sur le flash (Adobe Flash-to-iPhone app tool), de manière à pousser les développeurs flash a développer sur iOS.
Mais au fil du développement du marché du smartphone et de la croissance des terminaux Apple, la plupart des sites web se devait d’offrir une version alternative de leur site compatible avec les terminaux pommés. Au fils des années, le Flash n’est désormais plus incontournable, car les sites web étaient maintenant conçus en deux versions, les développeurs pour iOS développaient via Xcode et encore mieux, un nouveau standard web tout aussi complet que le Flash pointait le bout de son nez, le HTML 5.
C’est lors du lancement de l’iPad, que Steve Jobs mit de coup de grâce au Flash. En effet Steve Jobs a écrit en avril 2010 une lettre ouverte, annonçant son choix de ne pas supporter le flash sur les plateformes mobiles de sa marque, interdisant par la suite le développement d’applications via le flash (via les conditions générales de soumission d’Apps sur l’Appstore).
Ce coup de grâce mit fin progressivement à l’avantage concurrentiel que représentait le support du flash sur les tablettes et les smartphones concurrents d’Apple, entrainant progressivement la mort du format au profit du HTML 5.