La baisse durable des températures a obligé les autorités allemandes à remettre en service des centrales au bois et au charbon. L’Afp a semble-t-il mal traduit une communication allemande reprise par le Figaro comme quoi quatre entreprises gestionnaires de réseaux électriques outre-Rhin avaient réactivé des centrales nucléaires retirées du réseau, mais conservées comme «réserve froide». Cette décision de réactiver des centrales au bois et au charbon démontre les limites de la politique allemande à propos de l’écologie car elle renforce les émissions de Co2 dans l’atmosphère. Une telle mesure souligne aussi l’incapacité des énergies renouvelables à satisfaire la hausse de la demande en énergie en cas de période prolongée de grand froid.
La distribution de l’énergie en Europe soulève aujourd’hui plus d’une interrogation. L’Allemagne a continué d'exporter de l'électricité chez ses voisins en puisant dans ses réserves de gaz et d'électricité alors qu’elle manquait de courant pour satisfaire les besoins de ses usagers. C’est une des conséquences de la politique de déréglementation et de démantèlement des champions nationaux impulsée par la commission européenne très inspirée par l’exemple américain. Les effets des mesures russes concernant le gaz utilisé comme arme de chantage diplomatique avaient déjà souligné la cécité de Bruxelles sur la dimension géopolitique des enjeux énergétiques.
En effet, compte tenu de la compétition économique entre les nations, la maîtrise et l’indépendance en énergie demeure un outil au service de la puissance de la France. Le scénario de la continuité permet donc d’assurer à la France une sécurité tant au niveau de l’approvisionnement que de l’autonomie et de l’indépendance vis-à-vis de l’achat d’énergie. Les principales sources de matières premières permettant la production d’énergie nucléaire viennent d’Afrique et les liens tissés au cours des années entre le continent Africain et la France permettent de réduire le risque de défaillance dans la fourniture de l’uranium. La France peut ainsi produire l’énergie dont elle a besoin et jouir d’une certaine indépendance qu’elle n’aurait pas en achetant de l’énergie à des producteurs étrangers.
La France ne dispose pas ou peu d’énergie fossile, se retrouvant ainsi à la merci des pays producteurs de gaz et de pétroles. Enfin l’augmentation inéluctable de la part des énergies renouvelables (éolien, photovoltaïque) lève la question de la dépendance vis-à-vis des entreprises et pays étrangers (utilisation de métaux rares produites majoritairement en Asie, peu d’entreprises Françaises sur le marché des éoliennes et du photovoltaïque…).
L’indépendance de la production d’énergie électrique d’origine nucléaire se révèle donc être un enjeu majeur pour la France et les scénarios de continuité permettent d’atteindre cette priorité.
La distribution de l’énergie en Europe soulève aujourd’hui plus d’une interrogation. L’Allemagne a continué d'exporter de l'électricité chez ses voisins en puisant dans ses réserves de gaz et d'électricité alors qu’elle manquait de courant pour satisfaire les besoins de ses usagers. C’est une des conséquences de la politique de déréglementation et de démantèlement des champions nationaux impulsée par la commission européenne très inspirée par l’exemple américain. Les effets des mesures russes concernant le gaz utilisé comme arme de chantage diplomatique avaient déjà souligné la cécité de Bruxelles sur la dimension géopolitique des enjeux énergétiques.
En effet, compte tenu de la compétition économique entre les nations, la maîtrise et l’indépendance en énergie demeure un outil au service de la puissance de la France. Le scénario de la continuité permet donc d’assurer à la France une sécurité tant au niveau de l’approvisionnement que de l’autonomie et de l’indépendance vis-à-vis de l’achat d’énergie. Les principales sources de matières premières permettant la production d’énergie nucléaire viennent d’Afrique et les liens tissés au cours des années entre le continent Africain et la France permettent de réduire le risque de défaillance dans la fourniture de l’uranium. La France peut ainsi produire l’énergie dont elle a besoin et jouir d’une certaine indépendance qu’elle n’aurait pas en achetant de l’énergie à des producteurs étrangers.
La France ne dispose pas ou peu d’énergie fossile, se retrouvant ainsi à la merci des pays producteurs de gaz et de pétroles. Enfin l’augmentation inéluctable de la part des énergies renouvelables (éolien, photovoltaïque) lève la question de la dépendance vis-à-vis des entreprises et pays étrangers (utilisation de métaux rares produites majoritairement en Asie, peu d’entreprises Françaises sur le marché des éoliennes et du photovoltaïque…).
L’indépendance de la production d’énergie électrique d’origine nucléaire se révèle donc être un enjeu majeur pour la France et les scénarios de continuité permettent d’atteindre cette priorité.