Le Ministre islandais de l'Intérieur, Ögmundur Jónasson, arejeté l'offre de l'entrepreneur chinois Huang Nubo d'acheter une grande étendue de territoire dans la région du nord du pays. Huang avait demandé de bénéficier d’une exemption par rapport à la loi islandaise qui interdit l'achat de grandes quantités de terre aux ressortissants qui n’appartiennent pas à l’Union Européenne. Huang voulait acheter 200 millions de dollars et aménager une parcelle de 0,3% du territoire islandais. Cette décision a déclenché un débat assez virulent au sein du petit monde politique local.
Un député social-démocrate du Parlement islandais, Sigmundur Ernir Rúnarsson, a critiqué ce refus comme un acte «déplorable» et «dévastateur». Les sociaux-démocrates étaient favorables à un achat de terres par un groupe chinois tandis que les verts, auquel appartient le Ministre de l’Intérieur Jónasson, étaient contre.
Le rejet d'une tentative chinoise d'acheter une partie importante du territoire islandais démontre que l'Islande accorde une certaine importance à sa souveraineté territoriale. Une partie de la classe politique islandaise ne voit pas d’un bon œil la volonté chinoise de s’impliquer dans le développement des infrastructures touristiques du pays. La riposte chinoise ne s’est pas fait attendre. Huang a déclaré aux médias qu’il entend réorienter ses projets vers la Finlande, la Suède et les États-Unis, où il espère trouver un environnement plus favorable pour les investisseurs étrangers.
Un député social-démocrate du Parlement islandais, Sigmundur Ernir Rúnarsson, a critiqué ce refus comme un acte «déplorable» et «dévastateur». Les sociaux-démocrates étaient favorables à un achat de terres par un groupe chinois tandis que les verts, auquel appartient le Ministre de l’Intérieur Jónasson, étaient contre.
Le rejet d'une tentative chinoise d'acheter une partie importante du territoire islandais démontre que l'Islande accorde une certaine importance à sa souveraineté territoriale. Une partie de la classe politique islandaise ne voit pas d’un bon œil la volonté chinoise de s’impliquer dans le développement des infrastructures touristiques du pays. La riposte chinoise ne s’est pas fait attendre. Huang a déclaré aux médias qu’il entend réorienter ses projets vers la Finlande, la Suède et les États-Unis, où il espère trouver un environnement plus favorable pour les investisseurs étrangers.