Le 6 octobre 2011, le blog http://pascalbonifaceintellectuelfaussaire.blogspot.com lance une série d’attaques informationnelles contre Pascal Boniface, le dirigeant de l’IRIS. Cette série d’attaques n’a rien d’étonnant compte tenu des prises de position de Pascal Boniface sur le conflit israélo-palestinien. Si les faits sont avérés et ils le sont pour une partie par une décision de justice, c’est un coup au but de ses opposants qui sont rentrés dans les failles de Pascal Boniface par les techniques de guerre de l’information.
La première attaque porte sur le plagiat sous le titre Pascal Boniface condamné pour contrefaçon.
« En 1994 paraît un ouvrage collectif intitulé Lexique des relations internationales, aux éditions Ellipses. Placé sous la direction de Pascal Boniface, le livre affiche les auteurs suivants : Clara Bacchetta, Vincent Barrailler, Thomas Bonnel, Camille Grand, Thierry Tardy.
En 2000, réédition de l'ouvrage, à l'identique, sauf quelques ajouts marginaux. Mais, surprise, le nom des contributeurs a disparu. Seul celui de Pascal Boniface subsiste. Comme s’il était le seul auteur de ces articles. Colère - bien légitime - des co-auteurs et procès. Pascal Boniface est lourdement condamné en première instance pour « contrefaçon in solidum avec l'éditeur ».
Décidément sans gène, il fait appel en portant plainte pour procédure abusive et atteinte à sa réputation. Il est non seulement débouté de cette plainte, mais sa condamnation est confirmée par le Tribunal. Il est condamné, conjointement avec son second éditeur, à verser 4 000 euros de dommages et intérêts à ses co-auteurs « oubliés » + leurs frais d’avocats. Ci dessous la copie d’un chèque de 7 000 euros fait par Pascal Boniface, pour payer une partie de sa condamnation
Source : Arrêt du 25 février 2004, cour d'appel de Paris. »
S’en suit une analyse critique (plagiat, l’auto plagiat, l’appropriation d’articles écrits par d’autres) sur la manière dont Pascal Boniface rédige certains ouvrages.
La deuxième forme d’attaque porte sur les citations truquées, les coquilles, et les erreurs d’analyse comme l’indique l’extrait de texte ci-dessous : « On peut lire en mai 2001 la phrase suivante : Je ne crois guère au développement d’un terrorisme de masse. (…) Je ne pense donc pas, contrairement à certains, que nous verrons des actes terroristes entraînant des milliers de victimes. Pascal Boniface (in « Les guerres qui menacent le monde », Béatrice Bouvet et Patrick Dernaud, Kiron – Editions du Félin, mai 2001). »
Cette attaque quasi frontale ressemble plus à une mise en garde qu’à une opération de destruction de la notoriété de Pascal Boniface qui ne sort pas intact de cette histoire.
La première attaque porte sur le plagiat sous le titre Pascal Boniface condamné pour contrefaçon.
« En 1994 paraît un ouvrage collectif intitulé Lexique des relations internationales, aux éditions Ellipses. Placé sous la direction de Pascal Boniface, le livre affiche les auteurs suivants : Clara Bacchetta, Vincent Barrailler, Thomas Bonnel, Camille Grand, Thierry Tardy.
En 2000, réédition de l'ouvrage, à l'identique, sauf quelques ajouts marginaux. Mais, surprise, le nom des contributeurs a disparu. Seul celui de Pascal Boniface subsiste. Comme s’il était le seul auteur de ces articles. Colère - bien légitime - des co-auteurs et procès. Pascal Boniface est lourdement condamné en première instance pour « contrefaçon in solidum avec l'éditeur ».
Décidément sans gène, il fait appel en portant plainte pour procédure abusive et atteinte à sa réputation. Il est non seulement débouté de cette plainte, mais sa condamnation est confirmée par le Tribunal. Il est condamné, conjointement avec son second éditeur, à verser 4 000 euros de dommages et intérêts à ses co-auteurs « oubliés » + leurs frais d’avocats. Ci dessous la copie d’un chèque de 7 000 euros fait par Pascal Boniface, pour payer une partie de sa condamnation
Source : Arrêt du 25 février 2004, cour d'appel de Paris. »
S’en suit une analyse critique (plagiat, l’auto plagiat, l’appropriation d’articles écrits par d’autres) sur la manière dont Pascal Boniface rédige certains ouvrages.
La deuxième forme d’attaque porte sur les citations truquées, les coquilles, et les erreurs d’analyse comme l’indique l’extrait de texte ci-dessous : « On peut lire en mai 2001 la phrase suivante : Je ne crois guère au développement d’un terrorisme de masse. (…) Je ne pense donc pas, contrairement à certains, que nous verrons des actes terroristes entraînant des milliers de victimes. Pascal Boniface (in « Les guerres qui menacent le monde », Béatrice Bouvet et Patrick Dernaud, Kiron – Editions du Félin, mai 2001). »
Cette attaque quasi frontale ressemble plus à une mise en garde qu’à une opération de destruction de la notoriété de Pascal Boniface qui ne sort pas intact de cette histoire.