En interne, on se demande si ce mouvement va continuer à prendre de l’ampleur. Pour comprendre rapidement, le site business insider a mis en ligne un diaporama qui présente l’argumentaire des indignés américains. Il mérite d’être regardé avec beaucoup d’attention car la force de sa démonstration dépasse de très loin le niveau de propagande que la contestation européenne (syndicale, front de gauche et autres alters) est capable de produire sur le sujet.
Les indignés ont des arguments plutôt imparables, ils occupent des lieux souvent emblématiques, ils se fédèrent via les réseaux sociaux et ne sont pas (encore) affiliés aux syndicats ni aux politiques, ils parlent avec leurs tripes et leurs émotions et ils sont composés de personnes de tous les horizons (chômeurs de différents statuts, jeunes, étudiants). Pour que la contagion soit efficace, il ne leur manque que le rebond qui leur permettra de mieux capturer l’attention ? Il est utile de regarder attentivement les vidéos réalisées sur Occupy Wall Street. Les manifestants sont plus nombreux qu’on ne l’imagine. C’est tout à fait nouveau pour une contestation de nature sociale aux États-Unis, qui plus est sur un terrain qui n’est pas celui d’une zone industrielle ruinée par des délocalisations et des faillites générées par la crise.
Les indignés ont des arguments plutôt imparables, ils occupent des lieux souvent emblématiques, ils se fédèrent via les réseaux sociaux et ne sont pas (encore) affiliés aux syndicats ni aux politiques, ils parlent avec leurs tripes et leurs émotions et ils sont composés de personnes de tous les horizons (chômeurs de différents statuts, jeunes, étudiants). Pour que la contagion soit efficace, il ne leur manque que le rebond qui leur permettra de mieux capturer l’attention ? Il est utile de regarder attentivement les vidéos réalisées sur Occupy Wall Street. Les manifestants sont plus nombreux qu’on ne l’imagine. C’est tout à fait nouveau pour une contestation de nature sociale aux États-Unis, qui plus est sur un terrain qui n’est pas celui d’une zone industrielle ruinée par des délocalisations et des faillites générées par la crise.