La réforme scolaire instaurée en 1993 à 2004 a été un des piliers de la stratégie de puissance indienne à propos de son choix de développement dans le leadership de l’industrie informatique. Le gouvernement fédéral indien décida à cette époque de supprimer les matières littéraires au profit des mathématiques et de la finance. L’objectif était de privilégier ces deux matières pour former un maximum de techniciens et d’ingénieurs informatiques. A partir de 2004, les matières littéraires ont été réintroduites progressivement parce les autorités estimaient avoir atteint leur objectif.
Cette politique s’appuyait aussi sur la transformation de la ville de Bangalore en capitale de la haute technologie. Cette ville fut choisie pour ses conditions climatiques : c’est un des rares endroits en Inde où la mousson est de faible amplitude afin de créer un cadre d’accueil adapté au retour des ingénieurs indiens et faciliter la vie des expatriés occidentaux.
La démarche a été semblable pour le choix de la ville de Puné qui se spécialise de plus en plus dans le domaine de la finance liée aux technologies de l’information.
Cette politique s’appuyait aussi sur la transformation de la ville de Bangalore en capitale de la haute technologie. Cette ville fut choisie pour ses conditions climatiques : c’est un des rares endroits en Inde où la mousson est de faible amplitude afin de créer un cadre d’accueil adapté au retour des ingénieurs indiens et faciliter la vie des expatriés occidentaux.
La démarche a été semblable pour le choix de la ville de Puné qui se spécialise de plus en plus dans le domaine de la finance liée aux technologies de l’information.