Les détracteurs de la Sodexo ont relancé leurs attaques informationnelles contre la société d’origine française. L’acteur et militant, Danny Glover, a dévoilé en janvier 2011 un rapport publié par TransAfrica Forum, qui critique la manière dont Sodexo traite ses salariés sur cinq pays différents. L’ONG TransAfrica se présente comme « la plus ancienne et la plus importante organisation afro-américaine en faveur de la diversité et de l’égalité dans le monde ».
Elle explique qu’elle a recueilli des témoignages sur dans différents pays où est implantée la Sodexo en particulier au Maroc, en Colombie et en République dominicaine. TransAfrica rapporte par exemple qu’en Guinée, des salariés doivent manger dans une cafétéria séparée de celle des Européens à la mine de Simandou. Elle dénonce les tests réclamés à « certaines candidates à l’embauche » en Colombie comme les intimidations syndicales dans la filiale Sodexo au Maroc. Il en est de même aux États-Unis où Human Rights Watch a renchéri sur ces accusations en publiant un rapport déclarant : « Malgré ses déclarations d’adhésion aux normes internationales sur la liberté syndicale des salariés, Sodexo a lancé des campagnes agressives contre les tentatives de certains de ses employés américains de se syndiquer et d’engager des négociations collectives. » Depuis janvier 2010, les détracteurs de Sodexo tentent de coordonner leurs actions en affichant une image syndicale. Ils réclament une application des principes de responsabilité sociale que la communication Sodexo met en avant dans certains de ses messages.
Ces attaques contre Sodexo ne sont pas sans rappeler des attaques antérieures subies par la société d’origine française aux États-Unis lors du différend entre la France et les États-Unis à propos du déclenchement de la guerre en Irak. A cette époque, des campagnes de dénigrement avaient été lancées sur le sol américain pour protester contre la qualité des produits de la Sodexo dans certaines universités américaines.
Elle explique qu’elle a recueilli des témoignages sur dans différents pays où est implantée la Sodexo en particulier au Maroc, en Colombie et en République dominicaine. TransAfrica rapporte par exemple qu’en Guinée, des salariés doivent manger dans une cafétéria séparée de celle des Européens à la mine de Simandou. Elle dénonce les tests réclamés à « certaines candidates à l’embauche » en Colombie comme les intimidations syndicales dans la filiale Sodexo au Maroc. Il en est de même aux États-Unis où Human Rights Watch a renchéri sur ces accusations en publiant un rapport déclarant : « Malgré ses déclarations d’adhésion aux normes internationales sur la liberté syndicale des salariés, Sodexo a lancé des campagnes agressives contre les tentatives de certains de ses employés américains de se syndiquer et d’engager des négociations collectives. » Depuis janvier 2010, les détracteurs de Sodexo tentent de coordonner leurs actions en affichant une image syndicale. Ils réclament une application des principes de responsabilité sociale que la communication Sodexo met en avant dans certains de ses messages.
Ces attaques contre Sodexo ne sont pas sans rappeler des attaques antérieures subies par la société d’origine française aux États-Unis lors du différend entre la France et les États-Unis à propos du déclenchement de la guerre en Irak. A cette époque, des campagnes de dénigrement avaient été lancées sur le sol américain pour protester contre la qualité des produits de la Sodexo dans certaines universités américaines.