Les omissions « humanistes » sur les roms

Les attitudes parasitaires d’un peuple nomade à l’égard des peuples sédentaires génèrent des rapports de force qui ne sont pas nouveaux dans l’Histoire. Les délits réguliers commis par des membres des populations nomades à l’égard des sédentaires sont une pratique courante depuis la nuit des temps. Il n’est pas étonnant de constater les réactions hostiles qu’elle soulève en zone rurale et péri-urbaine parmi les fractions de l’opinion publique victimes de ces exactions. Ce qui est nouveau en revanche, c’est la manière dont des intermédiaires chinois commanditent des vols organisés de métaux de toute sorte, de matériels de chantiers, y compris de grues auprès de réseaux mafieux roms. Ces matériels volés sont transportés par des camions immatriculés souvent en Hongrie et expédiés à partir de la Bulgarie. Ce trafic connu des autorités françaises et tracé par la police reste un non-dit pour ne pas indisposer la Chine qui profite directement de cet apport de matériaux illégaux. Ces vols de métaux sont couteux, dangereux et peuvent porter atteinte à la vie de nos citoyens. Les médias sont d’ailleurs très discrets sur les accidents qui en résultent. Ces comportements irresponsables ne sont jamais évoqués par les défenseurs des roms (Associations de soutien ou partis politiques de gauche) qui préfèrent les taire et se concentrer sur leur guerre de l’information contre le pouvoir en place. La circulation de ces populations et leur implantation sauvage en France (réapparition des bidonvilles) posent un problème qui dépasse largement le cadre des protestations de principe
Dans l’affaire des roms, l'Eglise Catholique se lance dans un combat pour l’humanisme qui devrait l’inciter à plus de prudence. Silencieuse sur les camps de la mort durant la seconde guerre mondiale, elle se lance aujourd’hui par le biais de certains évêques dans la défense des roms en France. Cette campagne a une résonance politique qui n’est pas compatible avec le rapport de l’église au pouvoir temporel.