Les conséquences du débat sur le réchauffement planétaire et les mesures du Grenelle de l’environnement avec en toile de fond la loi imposée par le gouvernement de Lionel Jospin donnant l’obligation à EDF (électricité de France) de racheter l’électricité éolienne produite 40% plus cher que le prix du marché, ont fait que la France a vu pousser comme des champignons sur son territoire des dizaines de parcs éoliens. Cependant en Novembre 2008, l’institut Montaigne (fondée en l’an 2000 par Mr Claude Bébéar et dirigé actuellement par Mr François Rachline) a dénoncé dans un rapport documenté le bien fondé réelle de l’installation de tels parcs éoliens sur le territoire national en dénonçant l’inadéquation voir les contradictions de cette production avec les véritables besoins énergétiques de notre pays. (Lutte affichée contre les émissions de CO2 alors que 90% de la production française d’électricité vient de l’hydraulique et du nucléaire qui n’en rejettent pas, faiblesse des rendements réelles par rapport aux espérances produites dans les rapports prospectifs, coûts d’installation et d’entretien faramineux, production à contretemps par rapport aux besoins de consommation dû aléas météorologiques, nuisances environnementales, aucun bilan chiffré n’a été fait depuis la mise en place de la loi du gouvernement Jospin).
En réponse à la parution de ce rapport, le syndicat des énergies renouvelables et plus particulièrement la fédération de l’énergie éolienne a répondu directement en apportant un argumentaire contradictoire. Toutefois si l’on prend le temps d’observer en prenant du recul on remarque que le contenu du rapport Montaigne n’a presque pas eu d’échos dans les médias et qu’il a surgit sur plusieurs sites, blogs forums de la nébuleuse des énergies renouvelables des réactions dénonçant les travaux du rapport en présentant ses membres comme des gens rétrogrades, ringards et bornés (i.e. le syndicat des Nimby « not in my back yard ») incapable de prendre des données fiables et ne présentant pas réellement les bienfaits de l’activité éolienne dans l’économie française (sondage de popularité ou plus de 9 français sur 10, des exemples de communes non citées se plaignant des tracasseries administratives qui les empêchent de construire plus d’éoliennes, création dans le secteur de centaines d’emplois, production d’énergie performante).
Il est intéressant de constater que d’un point de vu général le lobby vert eolien avance depuis 10 ans de manière visible sur le bord de nos route et a marqué les esprits durablement en écartant soigneusement ses détracteurs grâce à la vague du « think green » et des informations positives relayés sur le secteur alors que techniquement et comptablement plusieurs arguments méritent encore débat sur le bien fait de cette technologie.
En réponse à la parution de ce rapport, le syndicat des énergies renouvelables et plus particulièrement la fédération de l’énergie éolienne a répondu directement en apportant un argumentaire contradictoire. Toutefois si l’on prend le temps d’observer en prenant du recul on remarque que le contenu du rapport Montaigne n’a presque pas eu d’échos dans les médias et qu’il a surgit sur plusieurs sites, blogs forums de la nébuleuse des énergies renouvelables des réactions dénonçant les travaux du rapport en présentant ses membres comme des gens rétrogrades, ringards et bornés (i.e. le syndicat des Nimby « not in my back yard ») incapable de prendre des données fiables et ne présentant pas réellement les bienfaits de l’activité éolienne dans l’économie française (sondage de popularité ou plus de 9 français sur 10, des exemples de communes non citées se plaignant des tracasseries administratives qui les empêchent de construire plus d’éoliennes, création dans le secteur de centaines d’emplois, production d’énergie performante).
Il est intéressant de constater que d’un point de vu général le lobby vert eolien avance depuis 10 ans de manière visible sur le bord de nos route et a marqué les esprits durablement en écartant soigneusement ses détracteurs grâce à la vague du « think green » et des informations positives relayés sur le secteur alors que techniquement et comptablement plusieurs arguments méritent encore débat sur le bien fait de cette technologie.