Qui aurait cru que l’auteur de la Constitution américaine ait été à ce point visionnaire sur l’origine de la crise financière actuelle qui est partie des Etats-Unis. La citation qui suit devrait peut-être devenir une source d’inspiration pour la rédaction d’un nouvel amendement de la constitution américaine.
« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d'abord par l'inflation, ensuite par la récession, jusqu'au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis ».
Extrait d'un discours de Thomas Jefferson de 1802
Thomas Jefferson a été en 1776 le rédacteur de la Déclaration d'Indépendance des Etats-Unis, secrétaire d'Etat de Georges Washington, 3ème Président des Etats-Unis). Jefferson fut aussi ambassadeur des Etats-Unis en France avec qui il négocia des traités commerciaux. A son retour aux Etats-Unis, en 1790, il devient secrétaire d'Etat de Georges Washington, le premier Président des Etats-Unis. Il devint Président des Etats-Unis en 1800.
Dans le cadre du débat qui eut lieu sur le financement des retraites lors de la décennie des années 80, la banque mondiale a ainsi commenté sa prise de position en faveur du mode de financement américain par capitalisation et en opposition avec le système français de retraite par répartition.
« Un taux de remplacement élevé assuré par un Système en répartition trop important […] retarde l’apparition d’un marché financier sophistiqué. Or il est prouvé que le développement des marchés financiers et la croissance économique sont étroitement liés ».
Citation de la Banque Mondiale
« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d'abord par l'inflation, ensuite par la récession, jusqu'au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis ».
Extrait d'un discours de Thomas Jefferson de 1802
Thomas Jefferson a été en 1776 le rédacteur de la Déclaration d'Indépendance des Etats-Unis, secrétaire d'Etat de Georges Washington, 3ème Président des Etats-Unis). Jefferson fut aussi ambassadeur des Etats-Unis en France avec qui il négocia des traités commerciaux. A son retour aux Etats-Unis, en 1790, il devient secrétaire d'Etat de Georges Washington, le premier Président des Etats-Unis. Il devint Président des Etats-Unis en 1800.
Dans le cadre du débat qui eut lieu sur le financement des retraites lors de la décennie des années 80, la banque mondiale a ainsi commenté sa prise de position en faveur du mode de financement américain par capitalisation et en opposition avec le système français de retraite par répartition.
« Un taux de remplacement élevé assuré par un Système en répartition trop important […] retarde l’apparition d’un marché financier sophistiqué. Or il est prouvé que le développement des marchés financiers et la croissance économique sont étroitement liés ».
Citation de la Banque Mondiale