Aujourd’hui priorité est donnée au développement du transport par ferroutage (suivant les engagements du gouvernement après le conseil du Grenelle de l’environnement) ou (développement du transport fret par fer combiné à la route) afin de pouvoir atteindre les objectifs de réduction d’émission de gaz à effet de serre provoquée par le transport.De ce fait il est logique de penser que si il y a bien un secteur ou il faut améliorer la concurrence et multiplier les opérateurs c’est bien le secteur du transport par fer. En effet au plus les opérateurs ferroviaires fret seront nombreux au plus les options de connexion par fer permettront aux sociétés de transport de créer un maillage logistique avec plateformes logistique économiquement performant. Ces nouveaux produits de commercialisation du fret par le fer permettront de soulager la fréquentation des principaux axes autoroutiers.
Or il est paru dernièrement dans le journal des Echos un article mettant en cause la loyauté commerciale de la SNCF envers Veolia. En effet SNCF s’étant séparé de RFF organisme de gestion des voies de chemin de fer, ce dernier n’est cependant pas tout à fait indépendant vis-à-vis de la distribution des accès route ferroviaire pour les différents opérateurs. En outre pour permettre la circulation de navette ferroviaire, RFF doit attribuer à l’opérateur un sillon. A ce jour les sillons sont validés par l’organisme de contrôle de la SNCF. On peut se poser la question si cet organisme est vraiment indépendant sachant que la SNCF a finalisé l’OPA sur GEODIS (compagnie de logistique intégrée) afin de faire absorber le déficit de sa filiale fret à un opérateur privé logistique maitrisant 75% du marché routier.
Veolia voulant commercialiser rapidement les grands axes nord sud et est ouest en France se heurte aujourd’hui au véto de l’attribution de sillon pour permettre l’exploitation de ces lignes. Il est à penser que cette concurrence quelque peu déloyale a pour but de matérialiser en opérateur dominant la SNCF GEODIS face à l’ouverture de la concurrence en 2009.
Ces conflits d’intérêts pénalisent en premier lieu les citoyens qui n’observent toujours pas à ce jour la diminution de fréquentation des autoroutes par les camions qu’ils soient étrangers ou français. Les mesures prises lors du Grenelle de l’environnement pour le développement de la concurrence dans le milieu des transports propres ne sont toujours pas appliquées. Enfin les sociétés de services de logistique intégrées sont toujours contraintes d’utiliser, si elles souhaitent mettre en place des transports multimodaux, l’opérateur FRET SNCF sur les axes prépondérants. Fret SNCF décline le plus souvent la mise en place de certaines connexions car, aujourd’hui, cette société n’a pas assez de conducteurs pour assurer toutes ces rotations.
A quand un flux de marchandise par fer et une réelle politique ambitieuse de transport de marchandises combinées permettant le diminution de l’impact sur l’environnement du transport de fret. Accroissement économique, dynamique logistique et développement durable pouvant se déployer ensemble.
Or il est paru dernièrement dans le journal des Echos un article mettant en cause la loyauté commerciale de la SNCF envers Veolia. En effet SNCF s’étant séparé de RFF organisme de gestion des voies de chemin de fer, ce dernier n’est cependant pas tout à fait indépendant vis-à-vis de la distribution des accès route ferroviaire pour les différents opérateurs. En outre pour permettre la circulation de navette ferroviaire, RFF doit attribuer à l’opérateur un sillon. A ce jour les sillons sont validés par l’organisme de contrôle de la SNCF. On peut se poser la question si cet organisme est vraiment indépendant sachant que la SNCF a finalisé l’OPA sur GEODIS (compagnie de logistique intégrée) afin de faire absorber le déficit de sa filiale fret à un opérateur privé logistique maitrisant 75% du marché routier.
Veolia voulant commercialiser rapidement les grands axes nord sud et est ouest en France se heurte aujourd’hui au véto de l’attribution de sillon pour permettre l’exploitation de ces lignes. Il est à penser que cette concurrence quelque peu déloyale a pour but de matérialiser en opérateur dominant la SNCF GEODIS face à l’ouverture de la concurrence en 2009.
Ces conflits d’intérêts pénalisent en premier lieu les citoyens qui n’observent toujours pas à ce jour la diminution de fréquentation des autoroutes par les camions qu’ils soient étrangers ou français. Les mesures prises lors du Grenelle de l’environnement pour le développement de la concurrence dans le milieu des transports propres ne sont toujours pas appliquées. Enfin les sociétés de services de logistique intégrées sont toujours contraintes d’utiliser, si elles souhaitent mettre en place des transports multimodaux, l’opérateur FRET SNCF sur les axes prépondérants. Fret SNCF décline le plus souvent la mise en place de certaines connexions car, aujourd’hui, cette société n’a pas assez de conducteurs pour assurer toutes ces rotations.
A quand un flux de marchandise par fer et une réelle politique ambitieuse de transport de marchandises combinées permettant le diminution de l’impact sur l’environnement du transport de fret. Accroissement économique, dynamique logistique et développement durable pouvant se déployer ensemble.