Beaucoup d’entreprises vivent les mesures prises au niveau international pour lutter contre le réchauffement climatique (via le Protocole de Kyoto) comme un frein à leur développement et un facteur de coûts supplémentaires : adaptation de leurs activités (R&D, production, vente, après-vente, recyclage, communication corporate…).
Conséquence
Au niveau européen, pléthore d’acteurs s’activent pour influer sur le processus des prises de décisions à Bruxelles :
• Des acteurs institutionnels : pays membres de l’UE et autres pays, régions, villes, universités, agences dédiées à l’environnement, etc.
• Des acteurs non institutionnels : ONGs, groupes de réflexions (think-tanks), fédérations/organisations professionnelles, entreprises, cabinets de lobbying, citoyens…
Quelque 170 acteurs (voir précédemment) gravitent autour des institutions européennes pour influer sur les décisions de Bruxelles.
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