La campagne anti-parlement européen à Strasbourg (suite)


Avec le non au référendum, la Turquie et l’intronisation de Joseph Daul (un Alsacien) à la tête du plus grand parti du Parlement (EPP-ED) en remplacement de HG Pottering, Strasbourg a de toutes façons gagné quelques mois ou années de délai mais la menace n’a pas disparu pour autant.