Que la Chine soit le champion toutes catégories de la contrefaçon n’était un secret pour personnes. Du sac Louis Vuitton, en passant par les logiciels et autres biens d’équipement automobiles, aucun secteur n’avait été épargné. Cette fois c’est une marque qui est victime des pirates chinois et il faut avouer que les contrefacteurs ont été particulièrement innovants.
En effet, après une enquête longues de deux années, NEC a découvert que des "pirates" n'ont pas détourné quelques uns de ses produits
(claviers, graveurs…) mais la société tout entière . Ainsi 18 fausses usines portant le pavillon NEC et fabricant une cinquantaine de produits (lecteurs mp3, home cinéma, lecteurs DVD…) ont été recensées en Chine et à Taiwan. La production était destinée essentiellement pour l’Europe et le Moyen-Orient. L’organisation de cette « industrie du faux » était pratiquement sans
faille, les contrefacteurs possédaient des cartes de visite NEC et leurs produits étaient dûment munis de fausses garanties et de faux
manuels d’utilisations… Cette affaire soulève deux interrogations : le cas de NEC est-il isolé ou d’autres entreprises sont-elles déjà victimes de ce nouveau mode de contrefaçon et le gouvernement chinois met-il tout en œuvre pour que la propriété intellectuelle soit respectée à l’intérieur de ses frontières comme il l’annonce officiellement ?
Source :
http://www.iht.com/articles/2006/04/27/business/nec.php
En effet, après une enquête longues de deux années, NEC a découvert que des "pirates" n'ont pas détourné quelques uns de ses produits
(claviers, graveurs…) mais la société tout entière . Ainsi 18 fausses usines portant le pavillon NEC et fabricant une cinquantaine de produits (lecteurs mp3, home cinéma, lecteurs DVD…) ont été recensées en Chine et à Taiwan. La production était destinée essentiellement pour l’Europe et le Moyen-Orient. L’organisation de cette « industrie du faux » était pratiquement sans
faille, les contrefacteurs possédaient des cartes de visite NEC et leurs produits étaient dûment munis de fausses garanties et de faux
manuels d’utilisations… Cette affaire soulève deux interrogations : le cas de NEC est-il isolé ou d’autres entreprises sont-elles déjà victimes de ce nouveau mode de contrefaçon et le gouvernement chinois met-il tout en œuvre pour que la propriété intellectuelle soit respectée à l’intérieur de ses frontières comme il l’annonce officiellement ?
Source :
http://www.iht.com/articles/2006/04/27/business/nec.php