Fin janvier, Google s’implantait en Chine. Cédant aux pressions du gouvernement chinois, le moteur de recherche a pris la décision de ne pas référencer les sites d’opposants, ou plutôt ceux considérés comme tels par le pouvoir. A l’heure actuelle, deux cent trente six mots clés sont censurés : Par exemple, taper Tianenmen sur google.cn renvoie à des photographies touristiques…
Presque au même moment, une seconde affaire est passée de manière plus inaperçue. En début d’année, le gouvernement américain a demandé aux principaux moteurs nationaux de leur fournir des informations, comme la
liste des mots clés tapés par les internautes, afin de lutter plus efficacement contre la pédophilie sur le net. Contrairement à Yahoo, MSN ou AOL, Google a refusé, considérant ces demandes « abusives ».
Force est de constater que les dirigeants du moteur de recherche ont une vision particulière de la liberté d’expression. Ils préfèrent manifestement dire amen à un régime communiste liberticide pour pouvoir avoir accès au marché chinois, plutôt que de participer à enrayer un fléau dont Google est partiellement responsable.
Presque au même moment, une seconde affaire est passée de manière plus inaperçue. En début d’année, le gouvernement américain a demandé aux principaux moteurs nationaux de leur fournir des informations, comme la
liste des mots clés tapés par les internautes, afin de lutter plus efficacement contre la pédophilie sur le net. Contrairement à Yahoo, MSN ou AOL, Google a refusé, considérant ces demandes « abusives ».
Force est de constater que les dirigeants du moteur de recherche ont une vision particulière de la liberté d’expression. Ils préfèrent manifestement dire amen à un régime communiste liberticide pour pouvoir avoir accès au marché chinois, plutôt que de participer à enrayer un fléau dont Google est partiellement responsable.