Une source suisse nous a fait parvenir l’information suivante.
La question du financement des ONG et de l’utilisation des fonds mis à leur disposition n’est pas nouvelle, mais est toujours d’actualité. L’organisation non gouvernementale Alliance of Mayors and Municipal Leaders on HIV/AIDS in Africa (AMICAALL) fait partie de ces organismes qui ont pour objectif de lutter activement contre le sida en Afrique, continent le plus touché par le fléau. La vocation d’AMICAALL est noble, la réalité est moins glorieuse à moins que l’efficacité de l’action soit atteinte avec un budget limité...
AMICAALL est présente sur le terrain avec plusieurs bureaux de représentations en Afrique, des conférences sur le thème du sida sont également tenues sur le territoire africain et auxquelles l’Alliance ne manque pas de participer. AMICAALL vise à protéger au niveau local les personnes les plus vulnérables, identifiées comme étant les femmes, les enfants et les non porteurs du virus. Pour ce faire, AMICAALL dispose d’un partenariat avec l’Organisation des Nations Unies qui lui alloue un budget, dont l’usage dépasse peu les frontières de la Suisse, où est installé le siège qui gère ces fonds, ainsi que le compte en banque de la directrice, Mme Mauerstein-Bail. La lutte contre le sida se transforme ainsi en lutte contre les fins de mois difficiles de la responsable d’AMICAALL, qui n’est cependant pas avare en payant volontiers des stagiaires désoeuvrés et très peu actifs avec les fonds onusiens. Pendant que certains meurent du sida, d’autres en vivent sous couvert d’une image lisse et qui inspire le respect de par la légitimité que leur confère leur action.
La question du financement des ONG et de l’utilisation des fonds mis à leur disposition n’est pas nouvelle, mais est toujours d’actualité. L’organisation non gouvernementale Alliance of Mayors and Municipal Leaders on HIV/AIDS in Africa (AMICAALL) fait partie de ces organismes qui ont pour objectif de lutter activement contre le sida en Afrique, continent le plus touché par le fléau. La vocation d’AMICAALL est noble, la réalité est moins glorieuse à moins que l’efficacité de l’action soit atteinte avec un budget limité...
AMICAALL est présente sur le terrain avec plusieurs bureaux de représentations en Afrique, des conférences sur le thème du sida sont également tenues sur le territoire africain et auxquelles l’Alliance ne manque pas de participer. AMICAALL vise à protéger au niveau local les personnes les plus vulnérables, identifiées comme étant les femmes, les enfants et les non porteurs du virus. Pour ce faire, AMICAALL dispose d’un partenariat avec l’Organisation des Nations Unies qui lui alloue un budget, dont l’usage dépasse peu les frontières de la Suisse, où est installé le siège qui gère ces fonds, ainsi que le compte en banque de la directrice, Mme Mauerstein-Bail. La lutte contre le sida se transforme ainsi en lutte contre les fins de mois difficiles de la responsable d’AMICAALL, qui n’est cependant pas avare en payant volontiers des stagiaires désoeuvrés et très peu actifs avec les fonds onusiens. Pendant que certains meurent du sida, d’autres en vivent sous couvert d’une image lisse et qui inspire le respect de par la légitimité que leur confère leur action.