Objectif : fragilisation indirecte du modèle français de croissance aux yeux de l’Afrique francophone et du monde arabophone et islamique, ainsi qu’une persuasion silencieuse de la supériorité des ingénieries anglo-saxonnes en langue française qui « marchent ».
Dans la foulée du non au référendum, des territoires « challengers » du nord-est et du sud-est de Paris (Val de Marne) sont « mis en pouvoir » par les Américains et leurs alliés pour constituer des vitrines du développement durable créant croissance, emplois et qualité de vie avec des ingénieries anglo-saxonnes. C’est dans ce contexte qu’il faut décrypter l’opération INTA. La première biennale en langue française (INTA), sur les ingénieries et les solutions organisationnelles et technologiques « qui marchent » au Maroc, aura lieu au mois de septembre 2005, sur les territoires clés contrôlant les flux commerciaux maritimes et humains, positifs ou négatifs entre l’Afrique, l’Espagne, et l’Europe.
La vitrine « parisienne » de l’INTA est l’agence de l’Innovation du Val de Marnes qui est appuyée par les Canadiens, le JISC, (Joint Intelligence & Security Comity) et bien sûr, indirectement par la Banque Mondiale luttant contre la « pauvreté » (dirigée depuis peu par Paul Wolfovich, expert de la politique de la violence).
Madame Sylvie Roussel-Gaucherand, nouvelle directrice de l’innovation territoriale du Conseil Général du Val de Marne, est invitée pendant un mois au Canada au mois de Juillet (pays membre du JISC et inventeur du mot géomatique ». C’est justement ce département français orienté à gauche qui a été choisi par l’INTA pour faire la promotion de la biennale de Tanger-Tetouan de septembre 2005. La manoeuvre cognitive s’inspire-t-elle de la technique des « idiots utiles » inventée par les soviétiques durant la guerre froide ? Il s’agit de mener une opération d’influence dans le camp adverse en prenant appui sur des forces d’opposition politique (dans cet exemple, des élus de gauche). La légitimité de leur prise de position humaniste et favorable aux pays du Sud servirait de camouflage à l’opération d’influence. Cette technique aurait déjà été utilisée dans des opérations précédentes, comme la déstabilisation des groupes français de l’eau par la manipulation de forces françaises alter mondialistes par le biais de l’ONG Public Citizen.
L’INTA (International Urban Development Association) est une association basée à La Haye qui est un site stratégique du Pentagone au sein de l’Europe. Selon certaines sources, l’INTA est couplée à l’agence C3 de l’OTAN, elle-même en relation avec la NSA, l’Europole et l’Agence Européenne de sécurité Transfrontières contrôlée par les Américains et leurs alliés. Si les organisateurs de la biennale de Tanger-Tetouan sont instrumentés par la Haye, d’autres territoires pilotes en Libye notamment sont des vecteurs de promotion pour les ingénieries de croissance et de sécurité anglo-saxonnes « qui marchent ». C’est ainsi que le complexe de territoires pilotes Italie-Sicile-Malte-Libye est bien autre chose qu’un « territoire apprenant de la croissance durable ». Il est une vitrine de la croissance et de la sécurité qui drainent des masses de ressources scientifiques, technologiques, financières et capital humain pour exploiter les ressources gazières et pétrolières de la Libye et en faire un « attracteur » étrange qui va contribuer à « engager l’Islam » dans le « canot » du modèle et de la conception du monde des Etats-Unis et de leurs alliés avec une influence autonome de l’ensemble des réseaux islamistes modérés ou plus ou moins radicaux.
Dans la foulée du non au référendum, des territoires « challengers » du nord-est et du sud-est de Paris (Val de Marne) sont « mis en pouvoir » par les Américains et leurs alliés pour constituer des vitrines du développement durable créant croissance, emplois et qualité de vie avec des ingénieries anglo-saxonnes. C’est dans ce contexte qu’il faut décrypter l’opération INTA. La première biennale en langue française (INTA), sur les ingénieries et les solutions organisationnelles et technologiques « qui marchent » au Maroc, aura lieu au mois de septembre 2005, sur les territoires clés contrôlant les flux commerciaux maritimes et humains, positifs ou négatifs entre l’Afrique, l’Espagne, et l’Europe.
La vitrine « parisienne » de l’INTA est l’agence de l’Innovation du Val de Marnes qui est appuyée par les Canadiens, le JISC, (Joint Intelligence & Security Comity) et bien sûr, indirectement par la Banque Mondiale luttant contre la « pauvreté » (dirigée depuis peu par Paul Wolfovich, expert de la politique de la violence).
Madame Sylvie Roussel-Gaucherand, nouvelle directrice de l’innovation territoriale du Conseil Général du Val de Marne, est invitée pendant un mois au Canada au mois de Juillet (pays membre du JISC et inventeur du mot géomatique ». C’est justement ce département français orienté à gauche qui a été choisi par l’INTA pour faire la promotion de la biennale de Tanger-Tetouan de septembre 2005. La manoeuvre cognitive s’inspire-t-elle de la technique des « idiots utiles » inventée par les soviétiques durant la guerre froide ? Il s’agit de mener une opération d’influence dans le camp adverse en prenant appui sur des forces d’opposition politique (dans cet exemple, des élus de gauche). La légitimité de leur prise de position humaniste et favorable aux pays du Sud servirait de camouflage à l’opération d’influence. Cette technique aurait déjà été utilisée dans des opérations précédentes, comme la déstabilisation des groupes français de l’eau par la manipulation de forces françaises alter mondialistes par le biais de l’ONG Public Citizen.
L’INTA (International Urban Development Association) est une association basée à La Haye qui est un site stratégique du Pentagone au sein de l’Europe. Selon certaines sources, l’INTA est couplée à l’agence C3 de l’OTAN, elle-même en relation avec la NSA, l’Europole et l’Agence Européenne de sécurité Transfrontières contrôlée par les Américains et leurs alliés. Si les organisateurs de la biennale de Tanger-Tetouan sont instrumentés par la Haye, d’autres territoires pilotes en Libye notamment sont des vecteurs de promotion pour les ingénieries de croissance et de sécurité anglo-saxonnes « qui marchent ». C’est ainsi que le complexe de territoires pilotes Italie-Sicile-Malte-Libye est bien autre chose qu’un « territoire apprenant de la croissance durable ». Il est une vitrine de la croissance et de la sécurité qui drainent des masses de ressources scientifiques, technologiques, financières et capital humain pour exploiter les ressources gazières et pétrolières de la Libye et en faire un « attracteur » étrange qui va contribuer à « engager l’Islam » dans le « canot » du modèle et de la conception du monde des Etats-Unis et de leurs alliés avec une influence autonome de l’ensemble des réseaux islamistes modérés ou plus ou moins radicaux.