Selon une breve de l'agence retuers du 10/12/2003, invoquant des raisons de sécurité nationale, le secrétaire adjointaméricain à la Défense, Paul Wolfowitz, a décidé que les entreprises de pays comme
la France et l'Allemagne, qui se sont opposés à l'invasion de l'Irak, seraient exclus des contrats de reconstruction de ce pays, à l'exception de la sous-traitance.
Dans un document communiqué mardi, Wolfowitz a fait savoir qu'il limitait la concurrence pour 26 contrats de reconstruction, d'une valeur totale de 18,6 milliards de dollars, pour lesquels un appel d'offres sera lancé dans les jours à venir.
"Il est nécessaire, pour la protection des intérêts vitaux touchant à la sécurité des Etats-Unis, de limiter la concurrence, pour ce qui est des contrats hors sous-traitance, à des entreprises américaines, irakiennes, des pays de la coalition et des nations qui contribuent par des troupes", a déclaré Wolfowitz dans une note publiée sur le site web www.rebuilding-iraq.net.
Cette décision risque fort de provoquer des remous en France et en Allemagne et chez d'autres alliés de l'Otan, tout comme au sein du Conseil de sécurité. Les entreprises des pays ainsi rejetés des contrats par Wolfowitz pourront toutefois répondre aux appels d'offres de sous-traitance.
la France et l'Allemagne, qui se sont opposés à l'invasion de l'Irak, seraient exclus des contrats de reconstruction de ce pays, à l'exception de la sous-traitance.
Dans un document communiqué mardi, Wolfowitz a fait savoir qu'il limitait la concurrence pour 26 contrats de reconstruction, d'une valeur totale de 18,6 milliards de dollars, pour lesquels un appel d'offres sera lancé dans les jours à venir.
"Il est nécessaire, pour la protection des intérêts vitaux touchant à la sécurité des Etats-Unis, de limiter la concurrence, pour ce qui est des contrats hors sous-traitance, à des entreprises américaines, irakiennes, des pays de la coalition et des nations qui contribuent par des troupes", a déclaré Wolfowitz dans une note publiée sur le site web www.rebuilding-iraq.net.
Cette décision risque fort de provoquer des remous en France et en Allemagne et chez d'autres alliés de l'Otan, tout comme au sein du Conseil de sécurité. Les entreprises des pays ainsi rejetés des contrats par Wolfowitz pourront toutefois répondre aux appels d'offres de sous-traitance.