L'exercice de guerre de l'information organisé par l'Ecole de Economique Guerre (Groupe ESLSCA) à l'IAE d'Aix en Provence a commencé hier à 14 heures. Le thème choisi est d'actualité : la déstabilisation d'un groupe pharmaceutique spécialisé dans la recherche sur l'innovation génétique. Les cinq équipes participantes se sont vues attribuées un rôle précis.
Cet exercice de simulation d'une durée de 40 heures se déroule de la manière suivante : le jury émet des messages en temps réel (dépêches d'agences de presse, communications d'entreprises, e-mails d'experts, communiqués d'organismes, etc.) qui correspondent aux phases cruciales de développement du scénario. Celui-ci débute par l'occupation du siège de Génotrex sur l'île de Samoa par un mouvement d'opposition locale. Chaque équipe a la possibilité d'échanger des informations et de négocier avec les autres acteurs de l'exercice.
Une équipe de journaliste de la rédaction nationale de France 3 suit l'événement sur toute sa durée et en rendra compte dans l'édition du 19/20 de jeudi prochain.
Cet événement est une première. Il est l'amorce de la création d'un réseau européen pour aborder les questions des applications civiles de la guerre de l'information. Les équipes soutiendront leur stratégies d'action mercredi matin devant un jury constitué de Christian Harbulot et Didier Lucas de l'Ecole de Guerre Economique, ainsi que Philippe Baumard de l'IAE d'Aix en Provence et le Général Francart, directeur de la société Eurodécision. Ces deux derniers sont également enseignants à l'EGE.
- L'équipe suisse constituée par des proches de la fondation InfoSurance (organisation de sécurité économique soutenue par l'office de l'approvisionnement suisse, des banques et des industries de moyenne envergure) défend les intérêts d'un groupe d'entreprises pharmaceutiques européennes.
- L'équipe italienne composée de membres du centre de recherche en géopolitique économique de Rome, de représentants de l'administration (présidence du Conseil, Guardia Finanza, un institut de recherche militaire) représente un groupe d'experts de la Commission Européenne.
- L'équipe allemande représentée par des consultants en renseignement économique privé (KDM) et des journalistes, a pour objectif la défense des intérêts du groupe Genotrex.
- L'équipe des élèves officiers des écoles de Coëtquidan représente la puissance américaine impliquée indirectement par les retombées de cette crise informationnelle.
- L'équipe de l'Ecole de Guerre Economique joue le rôle d'une ONG australienne.
Cet exercice de simulation d'une durée de 40 heures se déroule de la manière suivante : le jury émet des messages en temps réel (dépêches d'agences de presse, communications d'entreprises, e-mails d'experts, communiqués d'organismes, etc.) qui correspondent aux phases cruciales de développement du scénario. Celui-ci débute par l'occupation du siège de Génotrex sur l'île de Samoa par un mouvement d'opposition locale. Chaque équipe a la possibilité d'échanger des informations et de négocier avec les autres acteurs de l'exercice.
Une équipe de journaliste de la rédaction nationale de France 3 suit l'événement sur toute sa durée et en rendra compte dans l'édition du 19/20 de jeudi prochain.
Cet événement est une première. Il est l'amorce de la création d'un réseau européen pour aborder les questions des applications civiles de la guerre de l'information. Les équipes soutiendront leur stratégies d'action mercredi matin devant un jury constitué de Christian Harbulot et Didier Lucas de l'Ecole de Guerre Economique, ainsi que Philippe Baumard de l'IAE d'Aix en Provence et le Général Francart, directeur de la société Eurodécision. Ces deux derniers sont également enseignants à l'EGE.