Suite au naufrage du Ievoli Sun, les premiers sites contestataires font leur apparition sur le Net.Une fois de plus, Internet démontre qu'il est le support le plus efficace et le plus réactif dans la diffusion de l'information. Trop souvent encore, les entreprises n'ont pas conscience de l'impact d'Internet dans la gestion des affaires et elles manquent d'anticipation pour faire face à ce type d'évènements. Pourtant des parades issues de l'intelligence économique offensive existent. Leurs mises en application donneraient aux sociétés des moyens bien plus performants que ceux utilisés en communication de crise. Espérons que la société Shell, responsable des ¾ de la cargaison, ne fasse pas les mêmes erreurs que Totalfina pour l'Erika.
1/ Premiers sites contestataires.
www.ievolisun.org
Ce site propose d'envoyer des e-mails " incendiaires " à Shell.
Aucune information n'est disponible sur le site concernant la catastrophe ou les évolutions de la pollution.
Un site à surveiller car selon son auteur il s'agit de la phase 1.
Le nom de domaine est réservé depuis le 31 octobre 2000. Actuellement, il s'agit seulement d'une redirection vers free.fr: http://lerobinet.free.fr/ievolisun/index.html.
2/ Les sites en construction
www.ievolisun.net
Le nom de domaine est réservé depuis le 31 octobre 2000. Actuellement, une redirection est effectuée vers une page personnelle en construction sur ifrance: http://ievolisun.ifrance.com/ievolisun.
www.ievolisun.com
Le nom de domaine est réservé depuis le 31 octobre 2000. Tout comme le précédent, il est en construction et sera mis en ligne prochainement.
En outre, les sites qui avaient vu le jour après la catastrophe de l'Erika ont repris l'information et consacre une partie sur les évolutions de la catastrophe et les réactions de la société civile grace notamment à des forums:
www.radiophare.net/ievolisun/index.html
www.mareenoire.com
www.mareenoire.org
www.developpement-local.net/ievolisun/indxcov.html
www.greenpeace.fr
4/ Réactions de Shell.
Shell Monde apparaissait un communiqué de presse d'une dizaine de lignes datant du 30 octobre 2000.